dimanche 31 juillet 2011

La nuit d'après : billetterie sur place !

Une billetterie est en place à l'entrée, n'hésitez pas à vous déplacer ! Attention : chèques et espèces uniquement.

Nous vous attendons nombreux pour rappeler qu''Il faut protéger les réfugiés"

vendredi 29 juillet 2011

J-2 avant La nuit d'après : Prenez fête et cause !

Prenez fête et cause : "On lâche rien!".

Rendez-vous dimanche au théâtre romain de Fourvière, ouverture des portes dès 17h30, et billetterie de dernière minute sur place.

mardi 28 juin 2011

Teaser La nuit d'après

Dernière version de la vidéo de présentation de La nuit d'après



N'hésitez pas à la diffuser autour de vous !


Réalisation : Maïté Allanic pour Forum réfugiés

"Marcher, c'est penser hors sentiers battus" (Le Monde)

Le Monde, 24/06/2011

Pourquoi la marche se développe-t-elle dans nos sociétés hypermodernisées ? Comment le nomadisme est-il devenu l'une des plus puissantes idéologies de la globalisation. Réflexions sur la nouvelle marche de l'humanité. "La marche, explique Frédéric Gros, est un authentique exercice spirituel", c'est une quête de soi, telle est la philosophie des randonneurs. Pour David Le Breton, prendre son temps est une subversion du quotidien. Mais deux interrogations s'imposent cependant. D'une part, selon Marc Augé, il existe des paradoxes de la mobilité, l'éthnologie doit épouser les mouvements du monde. D'autre part, d'après Jean-Loup Amselle, il faut se méfier de l'idéologie du nomadisme, notamment du lien étroit entre la promotion de l'individu et les besoins du capitalisme.


Point de vue

Prendre son temps, une subversion du quotidien

LEMONDE.FR | 24.06.11

Par David Le Breton, professeur de sociologie à l'université de Strasbourg, auteur de Eloge de la marche (Métailié) ou de La saveur du monde : Une anthropologie des sens (Métailié).
 
Longtemps la marche était le seul moyen de locomotion. Les chemins étaient emplis d'itinérants.
Au temps des compagnons, les apprentis marchaient dans toute la France pour affiner leur formation. Dans les Cévennes Stevenson rencontre des bergers, des paysans, des colporteurs, des vagabonds. Le paysan marche avec des sabots qui alourdissent ses pas, il chemine près de l'animal bâté, accompagne son troupeau, va chercher l'eau avec un broc. Les routes sont emplies de saisonniers, de rempailleurs, de rétameurs, d'acheteurs de peaux de lapins, de ramoneurs, de chiffonniers allant à pied de hameaux en villages.
L'itinérance est cependant suspecte, ces marcheurs sont des inconnus, des hommes surtout, et ils sont l'objet de la vigilance des populations ou des gendarmes. Mais ils se font de plus en plus rares au fil du siècle.
Voyager à pied est devenu improbable dans les années 1950-1960, quand les voitures ou les Mobylette se banalisent. Les itinérants circulent désormais en voiture.

En 1971, quand l'écrivain Jacques Lacarrière entame son chemin de Saverne jusqu'à Leucate, des Vosges à la Méditerranée, il dit combien il est souvent seul sur les routes ou les sentiers. S'il rencontre au fil de la route énormément de solidarité et d'amitié, il sent parfois l'hostilité, la méfiance à l'égard de ce chemineau, cet homme sans feu ni lieu, seulement de passage.

Il s'étonne de la solitude des forêts où il ne croise jamais de promeneurs, même en plein mois d'août, pas même de chercheurs de champignons. Un jour où il demande son chemin à un paysan, l'homme lui répond que nul ne va jamais là-bas, et il s'inquiète de ce qui risque de se passer s'il se casse une jambe ! Au début des années quatre-vingt-dix quand L. Moutinot marche sur mille cinq cent kilomètres en reliant Golfe-Juan à Ploudalmézeau, il ne croise aucun autre marcheur.

Aujourd'hui des dizaines de millions de marcheurs parcourent les sentiers en Europe pour quelques heures ou quelques jours, parfois davantage. Anachronique dans le monde contemporain privilégiant la vitesse, l'utilité, le rendement, l'efficacité, la marche est un acte de résistance célébrant la lenteur, la disponibilité, la conversation, le silence, la curiosité, l'amitié, l'inutile, autant de valeurs résolument opposées aux sensibilités néolibérales qui conditionnent désormais nos vies.

Prendre son temps est une subversion du quotidien, de même la longue plongée dans une intériorité qui parait un abime pour nombre de contemporains n'habitant plus que la surface d'eux-mêmes et en faisant leur seule profondeur. Le recours à la forêt, à la montagne, aux sentiers, est une échappée belle pour reprendre son souffle, affûter ses sens, renouveler sa curiosité, et connaitre des moments d'exception bien éloignés des routines du quotidien.

Détour pour se rassembler soi, marcher c'est avoir les pieds sur terre au sens physique et moral du terme, c'est-à-dire être de plein pied dans son existence. Et non à côté de ses pompes, pour reprendre une formule bien connue. Le chemin parcouru, même pour quelques heures, rétablit un centre de gravité. Si l'on se donne aux lieux, ils se donnent également et avec prodigalité.

Bien entendu le marcheur ne voit que ce qui était déjà en lui, mais il lui fallait ces conditions de disponibilité pour ouvrir les yeux et accéder à d'autres couches du réel. Sans réceptivité intérieure, sans une transparence à l'espace et au génie des lieux rien ne se fait, le marcheur passe son chemin en laissant derrière lui une chance qu'il n'a pas su saisir.

Un marcheur est un homme ou une femme qui se sent passionnément vivant et n'oublie jamais que la condition humaine est d'abord une condition corporelle, et que la jouissance du monde est toujours celle de la chair, et d'une possibilité de se mouvoir, de s'extraire de ses routines. Sentir le travail des muscles, c'est aussi songer au plaisir du repos bientôt, à l'appétit qui grandit à l'approche de la ferme-auberge ou de la halte au bord du chemin.

Cette fatigue n'est pas imposée par les circonstances, elle est voulue par le marcheur, elle fait partie du jeu. Le marcheur est son propre maitre d'œuvre, il recourt seulement à son corps et à ses ressources physiques pour progresser, sans autre énergie que son désir et sa volonté de mener un parcours à son terme. La satisfaction est d'autant plus grande de ne devoir qu'à soi.

Libéré des contraintes d'identité, hors de sa trame familière, il n'est plus nécessaire de soutenir le poids de son visage, de son nom, de sa personne, de son statut social… Il se défait du fardeau parfois d'être soi, relâche les pressions qui pèsent sur ses épaules, les tensions liées à ses responsabilités sociales et individuelles. Il tombe les éventuels masques car personne n'attend de lui qu'il joue un personnage sur les sentiers.

Il est sans engagement autre que l'instant qui vient et dont il décide de la nature. Pendant des heures, des jours ou des semaines, il est hors du temps et disponible à toutes les rencontres. Expérience provisoire de mise en apesanteur des exigences de la vie collective. Marcher revient à se mettre en congé de son histoire et à habiter l'instant sans voir le monde au-delà de l'heure qui vient.

Comme tout homme le marcheur ne se suffit pas à lui-même, il cherche sur les sentiers ce qui lui manque, mais ce qui lui manque est ce qui fait sa ferveur. Il espère à chaque instant trouver ce qui alimente sa quête.
Il avance avec le sentiment qu'au bout du chemin quelque chose l'attend et qui n'était destiné qu'à lui. Une révélation est non loin de là, à quelques heures de marche, au-delà des collines ou de la forêt.

Un marcheur est un homme ou une femme appartenant au monde. Rien de ce qui est humain ne lui est étranger. Ses appartenances sont multiples, elles sont faites d'innombrables paysages, de lieux, de villes, de quartiers qu'aucune frontière ne saurait enfermer.

Dernière version du flyer La nuit d'après


Visuel : Jean-Philippe Aubanel // Graphisme : Nathalie Navarre

lundi 20 juin 2011

Ce soir : Marche des parapluies | Journée mondiale du réfugié

Rendez-vous ce soir 17h place St Jean [Lyon 5ème] pour la 8ème Marche des parapluies à l'occasion de la Journée mondiale du réfugié.

Billetterie sans commission pour La nuit d'après à l'arrivée place Sathonay.

lundi 30 mai 2011

Les têtes raides aux côtés des demandeurs d'asile

L'affiche est désormais bouclée avec la présence confirmée des Têtes raides à la soirée du dimanche 31 juillet. Entre pure poésie et formidable entrain, la nuit promet d'être belle !






mardi 24 mai 2011

En attendant La nuit d'après : RDV le 20 juin pour la journée mondiale du réfugié !

Forum réfugiés vous invite le 20 juin 2011 à la 8ème Marche des Parapluies à l'occasion de la Journée mondiale du réfugié.

Rendez-vous à 17h place St Jean (Lyon 5ème), et défilé en musique jusqu'à la place Sathonay (Lyon 1er), accompagné par la fanfare des Heavy Fingers (la Cie des doigts lourds).

Mobilisons-nous une nouvelle fois pour rappeler qu’Il faut protéger les réfugiés et sensibiliser sur la situation des réfugiés en France, en Europe et dans le monde. Le parapluie blanc symbolise l'abri et la protection qui doivent être garantis par les Etat signataires de la Convention de Genève à tous les réfugiés.

Sur place : prises de parole, stand d'information et vente des billets pour La nuit d'après.

Plus d'informations :
Maude Perrussel-Morin, communication@forumrefugies.org

9 artistes et une ultime surprise à venir

La programmation pour La nuit d'après est bouclée :

MARCIO FARACO et PHILIPPE BADEN POWELL,
HK & LES SALTIMBANKS,
LA CIE DAVASI et LE FILAMENT

...ont également accepté l'invitation de Forum réfugiés !

C'est le moment d'acheter vos places sur la billetterie en ligne de la Fnac, ou sans commission le 20 juin 2011 lors de la Marche des parapluies de Lyon.

mardi 17 mai 2011

Le trajet de la marche? Le voici!

Le départ de la marche aura lieu le jeudi 28 juillet 2011 sur la place du Palais des Nations à Genève, en face du HCR, lieux hautement symboliques. Les associations suisses partenaires lanceront le départ et marqueront ainsi la date d'anniversaire de la signature de la Convention de Genève.

La première étape aura lieu dans le village d'Avully, en Suisse, village qui a accueilli les réfugiés réformés qui fuyaient les persécutions religieuses au XVI et XVIIème siècle puis plusieurs siècles plus tard, les personnes qui fuyaient les villages incendiés par la Wehrmacht.

La seconde étape aura lieu dans le village de Chaumont, puis la troisième dans le village de Droisy, côté français.

Le dimanche 31 juillet, les marcheurs rejoindront la gare de Seyssel et prendront le train jusqu'à Lyon où ils seront rejoints par tous ceux qui souhaitent les accompagner pour la dernière étape jusqu'au théatre antique de Fourvière et célébrer "la nuit d'après".

Le groupe de marcheurs sera accompagné par des demandeurs d'asile et des réfugiés suisses et français de part et d'autre de la frontière et auront l'occasion de partager les soirées avec les habitants des villages étapes.

le tout dans une atmosphère qui présage être très sympathique...

lundi 16 mai 2011

Vous marchiez ? et bien roulez maintenant !

Puisque l'équipe des marcheurs est au complet, nous suggérons qu'une deuxième vague se mette en route, à vélo celle-là, qui partira, jeudi 28 juillet, de la même place des Nations à Genève pour se rendre à Lyon, dimanche 31,  par d'autres chemins. La balade pourrait être belle !
Les candidatures sont à porter à l'adresse suivante : marchersurson31@forumrefugies.org

dimanche 15 mai 2011

Visuel La nuit d'après : à découvrir et faire circuler !




La première version du flyer électronique de La nuit d'après est disponible.
A faire circuler largement parmi vos ami-e-s, connaissances, contacts, réseaux les plus divers possibles !

Visuel : Jean-Philippe Aubanel
Graphisme : Nathalie Navarre

Mise en vente en ligne des billets pour La nuit d'après

Les billets pour La nuit d'après sont désormais en vente en ligne sur www.fnac.com. N'attendez plus pour acheter vos places ! Et n'hésitez pas à faire circuler le lien.

vendredi 6 mai 2011

La fanfare des pavés aux marches de l'Opéra

La fanfare des pavés, trente-cinq musiciens et chanteurs, accueillera le public, dimanche 31 juillet sur le site du théâtre antique de Fourvière, en fin d'après midi. Vous pouvez les écouter sans attendre, et même les voir, en vous rendant devant l'Opéra de Lyon, samedi 7 mai à 15h et jusqu'en fin d'après midi, à l'occasion de la journée Portes ouvertes.

jeudi 5 mai 2011

La nuit d'après : les prises de parole

Philippe Leclerc, délégué en France du Haut Commissariat aux réfugiés (UNHCR), des demandeurs d’asile, des réfugiés, et des organisations amies prendront la parole lors de La nuit d'après.

lundi 2 mai 2011

Une équipe de marcheurs au complet !

Il n'aura pas fallu longtemps pour que le groupe des marcheurs, qui ne devait pas excéder une trentaine de personnes, affiche complet ! C'est chose faite et nous nous employons désormais à créer une joyeuse rencontre !

samedi 30 avril 2011

Marcher sur son 31 : aperçu en images du parcours

Gîte d'étape de Chaumond, Ain



Le long du chemin



Les traces de St Jacques de Compostelle
Seyssel, au bord du Rhône, avant-dernière étape de la marche

Photos : Bernard Bolze

Le sens de marche

Dans le sens de la marche
L’exercice est intéressant et marcher est manifestement moins anecdotique qu’à première vue. Ma note voudrait alimenter la décision que vous prendrez ensemble et dans tous les cas, votre chemin sera le mien.
En proposant de marcher, de Genève à Lyon, pour les raisons que l’on sait, nous savons bien dans quelle direction marcher, mais nous avons le choix entre plusieurs chemins.
En résumé, les itinéraires sont au nombre de deux, avec la charge symbolique propre à chacun.
Le premier consiste à mettre un pied devant l’autre et recommencer. Comme dit Albert (1) le  philosophe, « donc ma question de base, est-ce que vous marchez avec vos pieds ? ». La marche est alors avant tout un acte plutôt intériorisé, qui met en scène des marcheurs qui vont apprendre à se connaître, fuir la dispersion coutumière. Ils imposent de fait par leur rythme une invitation à réfléchir à une situation, à la condition faite à un certain groupe de personnes, pour nous les demandeurs d’asile. La « médiatisation » ou la « publicité » qui sont utiles à faire partager nos engagements pourrait alors se mettre en œuvre par la sollicitation de journalistes marcheurs.
Le deuxième consiste à concevoir le trajet comme une succession de manifestations ou d’événements accrocheurs où importent les instants urbains, partagés avec un public de passage, alors sensibilisé. L’important n’est pas la marche, avec le sens de la marche, mais l’acte manifestif donné à voir. Le déplacement devient le temps mort. Le vif est le lien avec les publics rencontrés.
Ces deux itinéraires ne sont pas à opposer. Ils procèdent de deux façons de voir, à un instant donné et il est à parier que chacun d’entre nous pourrait se faire tour à tour le chantre, à un moment différent de son parcours, de l’un puis de l’autre.
Pour ma part et parce qu’il n’est bien sûr ici que de propos forcément personnels, mon choix, dans le brouhaha du monde, me conduit par le premier itinéraire. Il m’importe moins aujourd’hui de convaincre que de montrer qu’un autre chemin est possible.
Bernard Bolze, chargé de projet pour le 60ème anniversaire de la Convention de Genève
à  Forum réfugiés

Marcher sur son 31 : présentation

Forum réfugiés invite, du jeudi 28 au dimanche 31 juillet 2011, à Marcher sur son 31, parcours qui reliera Genève, siège du Haut Commissariat aux réfugiés, à Lyon, en suivant le chemin des Huguenots. Cette marche marquera le soixantième anniversaire de la Convention de Genève, socle de la protection internationale des réfugiés, signée le 28 juillet 1951. 

Réfugiés, demandeurs d’asile, citoyens concernés, toutes et tous sont conviés à rallier la marche. Le départ se fera jeudi 28 juillet à 9h, devant le siège du Haut Commissariat aux Réfugiés à Genève.
La protection des réfugiés ne saurait être considérée comme un acquis définitif ou comme une affaire appelée à ne concerner que les autres. Elle est régulièrement mise à mal par les replis identitaires et les égoïsmes nationaux. Elle dépend du soin mis par tous ceux qui ont conscience de sa précarité à la défendre et à la consolider.
C’est ce à quoi les organisations participantes vous invitent ici. Votre présence signera un indispensable engagement.

Marcher sur son 31 sera une houle d’indignation, une pluie d’été, une mer de solidarité, un bain de soleil, une douche festive et vous, comme un poisson dans l’eau !

La nuit d'après : aperçu de la programmation

ROKIA TRAORE 
SANSEVERINO 
IDIR
KARIMOUCHE 
LA FANFARE DES PAVES 
et d'autres artistes à venir (programmation en cours) !

La nuit d'après : présentation


Forum réfugiés propose, dimanche 31 juillet 2011, au Théâtre romain de Fourvière à Lyon, « La Nuit d’après », une soirée de fête et d’alerte en faveur des réfugiés dans le monde. 

Avec ROKIA TRAORE, SANSEVERINO, IDIR, KARIMOUCHE, LA FANFARE DES PAVES, et d'autres artistes à venir (programmation en cours).

Nous célebrerons le soixantième anniversaire de la Convention de Genève, socle de la protection internationale des réfugiés. Ces soixante années témoignent des crises et des conflits qui jalonnent l’histoire contemporaine, et des réponses apportées par les Etats, les Nations unies et la société civile pour assurer la protection des personnes qui fuient la persécution « du fait de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leur appartenance à un certain groupe social ou de leurs opinions politiques ». Elles montrent aussi que ces réponses n’ont pas été toujours à la hauteur des horreurs vécues, des besoins et des espérances. 

La protection des réfugiés ne saurait être considérée comme un acquis définitif ou comme une affaire appelée à ne concerner que les autres. Elle est régulièrement mise à mal par les replis identitaires et les égoïsmes nationaux. Elle dépend du soin mis par tous ceux qui ont conscience de sa précarité à la défendre et à la consolider. 

C'est ce à quoi les organisations participantes vous invitent ici. Votre présence signera votre indispensable engagement.





Prix des places : 25 euros / 20 euros tarif réduit (chômeurs, étudiants, CE, groupe de plus de 10 personnes). Locations (mise en vente prochainement) : Fnac, Carrefour, Géant, Magasins U, Intermarché.

La Convention de Genève fête ses 60 ans !

La Convention du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés, dite Convention de Genève, fête en 2011 ses 60 ans !

Ce texte fixe le cadre juridique de définition du droit d'asile et constitue le socle de la protection internationale des réfugiés ; il définit "les modalités selon lesquelles un Etat doit accorder le statut de réfugié aux personnes qui en font la demande, ainsi que les droits et les devoirs de ces personnes." (source : Wikipedia)